Giuseppe Mazzini
Apparence
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Giuseppe Mazzini, né le à Gênes et mort le à Pise, est un révolutionnaire et patriote italien, fervent républicain et combattant pour la réalisation de l'unité italienne. Avec Giuseppe Garibaldi, Victor-Emmanuel II et Camillo Cavour, il est considéré comme l'un des « pères de la patrie ».
Citations
[modifier][Karl Marx est] un esprit d'une nature dissolvante, d'un caractère dominateur, sans fortes croyances philosophiques ou religieuses, et inspiré par des haines plutôt que par l'amour.
- « Bulletin de l'étranger », Giuseppe Mazzini, La Presse, 21 juillet 1871, p. 2 (lire en ligne)
Citations sur Giuseppe Mazzini
[modifier]L'insurrection de Milan est importante parce qu'elle est un symptôme de la crise révolutionnaire qui menace le continent européen tout entier. Et elle est admirable en raison de l'acte héroïque d'une poignée de prolétaires qui, armés seulement de couteaux, ont eu le courage d'attaquer une ville et une armée de 40 000 soldats parmi les meilleurs en Europe… Mais comme grand final de la conspiration éternelle de Mazzini, de ses proclamations ronflantes et ses tirades contre le peuple français, est un résultat très pauvre. La présomption est que, désormais, il faut mettre fin aux révolutions improvisées, comme disent les Français… En politique, comme cela se fait dans la poésie, les révolutions ne sont jamais faites sur ordre.
- « Les mouvements de Milan », Karl Marx, New York Daily Tribune, 8 mars 1853, p. 2
Le célèbre révolutionnaire Giuseppe Mazzini, mieux connu en Russie comme un patriote italien, conspirateur et agitateur que métaphysiste déiste et fondateur de la nouvelle église en Italie, oui, Mazzini jugea utile et nécessaire en 1871, au lendemain de la défaite de la Commune de Paris, lorsque les féroces exécuteurs de Versailles fusillèrent par milliers les Communards désarmés, de soutenir l'anathème de l’Église catholique et les persécutions policières de l’État avec son propre anathème prétendument patriotique et révolutionnaire mais dans sa substance absolument bourgeoise et théologique
- L'État et l'Anarchie, Mikhaïl Aleksandrovitch Bakounine, éd. Éd. Champ libre, 1976/1873, p. 23