Élisabeth Vonarburg
Apparence
Élisabeth Vonarburg, née le à Paris, est une romancière et nouvelliste de science-fiction qui vit dans la région du Saguenay, au Québec, depuis 1973. Elle écrit parfois sous le pseudonyme de Sabine Verreault.
Citations
[modifier]Chroniques du Pays des Mères, 1992
[modifier]- Voir le recueil de citations : Chroniques du Pays des Mères
Le Silence de la Cité, 1998
[modifier]Il y a des héritages qui écrasent, Élisa.
- Ostrer l'ommach.
- Le Silence de la Cité (1998), Élisabeth Vonarburg, éd. Gallimard, coll. « Folio SF », 2021, chap. 19, Première partie, p. 121
Interviews
[modifier]Je suis quelqu’un qui écrit des livres longs et complexes que les gens trouvent longs et compliqués. Certains aiment ça, d’autres non (rires). Je les écris pour moi d’abord, car j’ai besoin d’écrire, c’est comme respirer, et disons que si je n’écrivais pas, je serais morte. Donc je suis une écrivaine.
- « Rencontre avec Élisabeth Vonarburg », propos recueillis par Allan Dujiperou, Fantastinet, 15 janvier 2019 (lire en ligne)
(…) la science-fiction moderne, consciente d’elle-même, consciente de ce qu’elle fait, consciente du milieu, consciente des milieux voisins, ne commence à exister au Québec qu’au début des années 70 avec la revue Requiem qui a commencé à faciliter l’agrégation des amateurs. Ça s’est concrétisé de façon définitive en 1979 avec la première convention de science-fiction que j’ai organisée à Chicoutimi.
À ce moment-là, la revue a changé de nom pour s’appeler Solaris. À partir du moment où on a une convention et au moins une revue — il y avait aussi des revues comme Imagine… et des fanzines —, on a une écologie suffisamment complète pour parler de science-fiction moderne. Nous y sommes arrivés tard mais je pense que nous avons pas mal rattrapé notre retard.
- « Rencontre avec Élisabeth Vonarburg », propos recueillis par Allan Dujiperou, Fantastinet, 15 janvier 2019 (lire en ligne)
Une des caractéristiques chez nous, c’est que nous avons toujours été œcuméniques, c’est-à-dire que science-fiction, fantasy, fantastique, gore… tout était légitime : il n’y a pas eu, par exemple, comme dans les années 80 ou 70 en France, un rejet de la fantasy.
- « Rencontre avec Élisabeth Vonarburg », propos recueillis par Allan Dujiperou, Fantastinet, 15 janvier 2019 (lire en ligne)