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Vacances explosives

Une page de Wikiquote, le recueil des citations libres.

Vacances explosives est un film français réalisé par Christian Stengel et sorti en 1957

Citations

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Les gangsters (qui veulent racketter Arlette Bernard) : suffit qu’ils aperçoivent l’ombre de nos galurins, ils détalent…
Arlette Bernard : et l’ombre de mon 39 fillette, vous l’avez déjà vue ? […] Et les maquereaux, même au vin blanc, j’ai jamais pu les digérer…

  • Arletty, Vacances explosives (1957), écrit par Jacques Vilfrid


Max-le-Fortiche s'adressant à sa femme Marie-la-Paimpolaise : c’est au souci du détail, chère, qu’on reconnaît l’homme du monde…
Marie-la-Paimpolaise : tu parles ! Je ne sais pas si c’est toi ou le costume, mais il y en a un des deux qui s’entend pas avec l’autre…


Paulo, conduisant la Buick : je peux pas passer tu vois bien, non ?
Max-le-Fortiche : pour moi ce garçon a pris des cours de conduite par correspondance et certaines lettres se sont égarées…


Paulo (cherchant, avec ses complices, à récupérer un tableau dans la voiture précédente qu’il piste) : si seulement j’avais ma canne à pêche…
Max-le-Fortiche : pourquoi pas une grue ?
Marie-la-Paimpolaise (prostituée) : c’est pour moi que tu dis ça ?


Fernand Morel (à propos des jeunes mariés) : ils ont toute la vie pour s’aimer.
Arlette Bernard : toute la vie ! C’est bien une idée d’homme, ça. Mais c’est la première nuit qui compte !
Fernand Morel : c’est bien une idée de femme !


Fernand Morel : et pourtant, vous êtes une femme intelligente…
Arlette Bernard : peut-être, mais pas cérébrale…


Marie-la-Paimpolaise (prostituée) à Max-le-Fortiche qui a passé la nuit avec une superbe rousse au lieu de la passer avec elle : tu veux que je te dise, tu as moins de délicatesse avec moi qu’avec la clientèle de passage…


Fernand Morel : vous pouvez bien prétendre que mon fils est un…
Arlette Bernard : …tordu…
Fernand Morel : votre fille, ce n’est tout de même pas Marilyn Monroe, tout de même…
Arlette Bernard : ne mélangeons pas les pur-sang et les tocards…
Fernand Morel : un tocard dont l’aïeul s’est battu aux côtés de l’empereur…
Arlette Bernard : ça explique Waterloo…


Marie-la-Paimpolaise à Paulo : t’as une grosse tête mais pas très meublée…
Paulo : c’est ça ! Les amoureux se réconcilient sur le dos du brave Paulo. Y’a de la place ! Seulement, méfiez-vous, hein ! Je suis chatouilleux…
Max-le-Fortiche : eh bien moi je te ferai des agaceries. Les gars comme toi, ça déshonore la profession !


Paulo : pourquoi vous l’avez lâché, le tableau ?
François Morel (en faisant allusion à Paulo et ses complices) : parce qu’il attirait les mouches…


Arlette Bernard (saisissant les rênes de la charrette attelée) : comment qu’il s’appelle, votre cheval ?
Le paysan : Ignace (allusion à Fernandel et à son physique).
Arlette Bernard : Ignace ? Eh ben Ignace, tu vas voir, on va faire la pige à Ben-Hur ! Allez, hue !

  • Arletty, Vacances explosives (1957), écrit par Jacques Vilfrid


Arlette Bernard à Paulo : cours pas comme ça, tu vas te foutres un « infractus ! »


Arlette Bernard à Paulo : le tableau et moi, on se quitte plus !
Paulo : tu sais ce que je vais faire ?
Arlette Bernard : sûrement une connerie !
Paulo : je vais te buter !
Arlette Bernard : qu’est-ce que je disais ! Si tu me butes, on te réveillera à l’aube et on te fera la coupe garçonnet ! C’est ça que tu veux ?


Monsieur Jo qui donne un livre factice à Arlette Bernard pour transporter une liasse de billets de banque : tenez, vous mettrez ça là-dedans.
Arlette Bernard : les sermons de Bossuet ! Vous avez un drôle de bagage !
Monsieur Jo : l'habitude des transports de fonds...
Arlette Bernard : quand je pense à ce qu'il touchait comme droits d'auteur, Bossuet, ça me fait mal au ventre de foutre ça là-dedans...

  • Arletty, Andrex, Vacances explosives (1957), écrit par Jacques Vilfrid


Monsieur Jo : ne me laissez pas tout seul, les hommes de Fred se ramènent pendant que les miens sont en vacances...
Arlette Bernard : c'est pas moi qui ai inventé les congés payés...

  • Arletty, Andrex, Vacances explosives (1957), écrit par Jacques Vilfrid


Monsieur Jo, voyant la cocaïne dissoute dans l'eau d'un vase de fleurs : quelle catastrophe ! 5 millions dans la flotte !
Fernand Morel : c'est de l'argent liquide...


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