Utilisatrice:Jorune/Brouillon
Sur Mayflower
[modifier]Je joue le Rôle de Mary Washington, la femme enceinte sur le bateau qui va donner naissance au premier petit Américain issu de l'émigration. Tout un symbole. Et Mario interprète Bepo le premier mafioso italo-américain de l'histoire.
(Chapitre 14 : Mayflower, ménage à 4) Le temps des répétitions 3ème page
Jouer la première aux États-Unis - une seule et unique représentation ! - a tout de la fausse bonne idée. Si emblématique soit-elle. Grosse opération de communication, certes mais même avec une organisation hors pair, c'est ingérable. rien que le voyage en avion... Une sacrée équipée !
(Chapitre 14 : Mayflower, ménage à 4) Une première en Amérique 4ème page
Éditeur : Robert Laffont; Illustrated édition (6 avril 2017) Langue : Français Broché : 384 pages ISBN-10 : 2221193431 ISBN-13 : 978-2221193433
sur l'écosse
[modifier] Ne disait-on pas qu'Édimbourg était bâtie sur l'hypocrisie ? Elle était la ville de Hume et des Lumières écossaises, certes, mais ensuite qu'était-il advenu ? Au XIXe siècle avait prospéré un calvinisme étriqué et les Lumières s'en était allé briller ailleurs [...]. Et Édimbourg était devenue synonyme de bienséance et de conformisme immuable. Mais la bienséance exigeait beaucoup d'efforts ; aussi, rien d'étonnant s'il existait des bas, des clubs, que des gens fréquentaient pour s'y conduire comme ils en avaient vraiment le désir sans oser le faire ouvertement. C'était à Édimbourg que l'histoire de Jekyll et Hyde avait été inventée et elle y prenait tout son sens.
- (en) Le Club des philosophes amateurs, Alexander Mccall Smith (trad. François Rosso), éd. Le Masque, 2024 (ISBN 978-2-702-44891-5), chap. 5, p. 86
Sur Leonard Cohen
[modifier]«Je ne veux pas de pardon
Non, non il n'y a personne
à blâmer
Je quitte la table
Je suis hors-jeu.»
- « So long Leonard », Francis Borchet, L'Alsace, 12 novembre 2016, p. 5 (lire en ligne)