Susie Morgenstern
Apparence
Susie Morgenstern, née Hoch le 18 mars 1945 à Newark dans l'État du New Jersey, est une autrice américaine et française de littérature pour la jeunesse. Parmi ses romans les plus remarqués figurent La Sixième, La première fois que j'ai eu 16 ans, Confessions d'une grosse patate ou Lettres d'amour de 0 à 10.
Citations de ses livres
[modifier]Propos publics
[modifier]La France m'émerveille, je suis furieusement amoureuse de ce pays, je rêve de perdre mon accent [américain] pour être véritablement française.
- « Jour=16, « L’auteure jeunesse Susie Morgenstern : “En France, dès la maternelle, on pense à Polytechnique” » », Susie Morgenstern, propos recueillis par Michel Abescat et Julia Vergely, Télérama, nº 3627, juillet 2019 (lire en ligne)
Ici [en France], à la différence des États-Unis, l'enfance n'existe pas. [...] Je me souviens, quand j'ai amené ma fille à la maternelle, les parents disaient à leur enfant « Travaille bien ! » Vous imaginez ? À 3 ans ! En Amérique, on lui dit « Have fun! ».
- « Jour=16, « L’auteure jeunesse Susie Morgenstern : “En France, dès la maternelle, on pense à Polytechnique” » », Susie Morgenstern, propos recueillis par Michel Abescat et Julia Vergely, Télérama, nº 3627, juillet 2019 (lire en ligne)
L'écriture est mon oxygène. Elle est un moyen de me justifier d'avoir survécu. Et elle m'a aidé à survivre.
- « Jour=16, « L’auteure jeunesse Susie Morgenstern : “En France, dès la maternelle, on pense à Polytechnique” » », Susie Morgenstern, propos recueillis par Michel Abescat et Julia Vergely, Télérama, nº 3627, juillet 2019 (lire en ligne)
Je suis une usine.
- Au sujet de son travail d'écriture.
- « Susie Morgenstern : « Je suis une usine » », Susie Morgenstern, propos recueillis par Raphaëlle Leyris, Le Monde, 5 août 2020 (lire en ligne)
Cent cinquante ! Quelle boulimie ! J’ai un peu honte !
- Au sujet de son cent cinquantième livre publié, à l'âge de 75 ans.
- « Susie Morgenstern : « Je suis une usine » », Susie Morgenstern, propos recueillis par Raphaëlle Leyris, Le Monde, 5 août 2020 (lire en ligne)