Suicide Kings
Suicide Kings est un film américain de 1997, réalisé par Peter O'Fallon et inspiré d'une nouvelle de Don Stanford, The Hostage.
Citations
[modifier]- Denis Leary, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
David : J'étais parti pour une soirée poker moi, pas pour séquestrer Don Corleone. Oh merde, non désolé.
Charlie Barret : Non, non, c'est rien.
David : Non mais je disais ça par respect, désolé.
- Johnny Galecki et Christopher Walken, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
Laveur de pare-brises : T'as une Mercedes, j'ai une bassinette, alors file-moi un dollar.
Lono : Une bassinette ? Tiens, ben donne la bassinette.
Laveur de pare-brises : S'il te plaît. Non, non.
Lono : Donne la bassinette !
Laveur de pare-brises : Non.
Lono : OK, je te file cinq cents dollars pour la bassinette, ça ira ?
Laveur de pare-brises : Ouais.
Lono : Mets le produit dans la bassinette, le chiffon dans la bassinette et donne-la moi.
Mickey : Allez, lâche-lui les bottes.
Lono : Bon alors maintenant, tu vas à l'hôtel, tu prends une douche, tu te rases, tu trouves des fringues et un travail et tu dessoûles. Je te revois avec une bassinette, c'est une balle dans le cul.
- Barry Sherman, Denis Leary et Louis Lombardi, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
Charlie Barret : Est-ce que vous pouvez me dire quelque chose d'utilisable ?
Avery : Oh y a rien qu'on a pas déjà dit à la police.
Charlie Barret : Ces gens-là, ils trouvent pas leur bite quand ils sont assis dessus.
- Christopher Walken et Henry Thomas, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
- Louis Lombardi, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
- Christopher Walken, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
Lono : Vous savez, ce que vous avez fait, c'est pas vraiment votre faute. C'est ce qu'on appelle une tare génétique. Ma mère appelait ça « le gène ». Mon grand-père, il l'avait le gène quand il a débarqué d'Irlande en 1912. Et il a transmis ça à mon père. C'était un type bien mon père, pas méchant pour un sou, un bosseur, grand amateur de sport. Mais quelquefois, en revenant de l'entrepôt, il s'arrêtait avec ses potes, il se prenait une ou deux pintes. Et un jour, comme ça je revenais de l'école, les lumières sont éteintes, j'ai pas compris. J'ai entendu ma mère qui pleurait quelque part dans le noir. J'étais déjà assez grand pour trouver l'interrupteur alors j'ai allumé et j'ai vu ce qu'il lui avait fait. Je suis allé dans ma chambre et j'ai pris ma batte de base-ball, modèle Babe Ruth, que mon père m'avait donné pour Noël. Lui, je l'ai trouvé évanoui dans la baignoire, et je l'ai tatoué. Autant dire qu'après ce moment, chaque fois que je suis revenu de l'école, la maison était allumée comme un stade. Quant à mon père, il a plus jamais bu. Alors, tout ce que je vous dis, c'est que si vous voulez boire, je vous en empêche pas. Mais si jamais j'apprends que vous avez touché un cheveu de cette petite, moi et ma batte on viendra vous faire une petite visite.
Harry : T'as fini là ?
Lono : Ouais, j'ai fini.
Harry : Ben tant mieux. Au fait, en sortant, tu dis à cette petite pute de venir ici. J'en ai pas fini avec elle.
(Lono prend un grille-pain et le frappe violemment avec à plusieurs reprises)
Lono (à Jennifer, en partant) : Pardon pour le grille-pain.
- Denis Leary et Joseph Whipp, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
Max : Elle a une façon de vous regarder qui vous met le cœur à l'arrêt et qui vous le redémarre après. Des comme ça vous en connaissez ?
Charlie Barret : Ouais, toutes les femmes.
- Sean Patrick Flanery et Christopher Walken, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
- Denis Leary, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney
Lono : Charlie, qu'est-ce que tu veux que je fasse ?
Charlie Barret : Tu tires. (Il désigne Brett) Sur lui.
(Lono lui tire une balle dans la jambe)
Brett : Merde ! Pourquoi moi ?
Charlie Barret : C'est toi qui a eu l'idée, ducon.
Lono : Toi, ça va ?
Charlie Barret : On fait aller, enfin, sauf pour ça. (Il lui montre son doigt tranché)
Lono : Ils t'ont raccourci, ces enflures ! Putain d'enfoirés de pédés, ils doivent aimer le rap, ces cons-là.
- Denis Leary, Christopher Walken et Jay Mohr, Suicide Kings (1997), écrit par Josh McKinney