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Stargate SG-1/Saison 7

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Retour aux sources (1/2) [7.1]

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O'neill : Ce n'est pas un petit virus de rien du tout qui les a décimés. C'était la peste. On aurait peut-être dû se protéger.
Carter : À chaque fois qu'on franchit la porte, on risque d'être contaminé par un germe inconnu. On ne porte pas de combinaisons étanches pour autant.
O'neill : Mais cette ville s'appelle quand même la "Cité des âmes en paix", non ?
Jonas : Non, en fait, ça s'appelle la "Cité des âmes perdues", mon colonel.
O'neill : Ça m'étonnerait que ce soit dans le sens géographique du terme.


Autochtone : [en pointant Teal'c du doigt] Lui, c'est un Jaffa ?
O'neill : Non, mais il en joue un dans une série télé.


[Discussion entre O'neill et le chef de la tribu qui a accueilli Daniel après qu'il soit revenu de son ascension]
Shamda : Les vrais amis sont ceux que tu connais mieux que toi-même.
O'neill : Mais les apparences sont souvent trompeuses.
Shamda : L'ennemi parle bien mais l'ami parle vrai.
O'neill : Faire confiance à tous est une erreur. Mais se méfier de tous aussi.
Shamda : Qui prétend avoir beaucoup d'amis n'en a aucun.
O'neill : Oui mais tant va la cruche à l'eau...
Shamda : Cette parabole m'est inconnue. Quelle morale enseigne-t-elle ?
O'neill : Elle dit qu'il faut économiser l'eau... Et savoir s'arrêter. Je ne sais pas si c'est la mieux adaptée à la situation mais je n'en ai pas d'autres.


[Jackson a été retrouvé vivant sur une autre planète mais a perdu la mémoire]
Teal'c : Vous ne nous reconnaissez pas, Daniel Jackson ?
Jackson : Non, pas du tout.
[Une pause gênante suit. Jackson s'écarte de l'équipe]
O'neill  : Même pas moi ?


[Jack raconte son passé à Daniel]
O'neill : La dernière fois que je vous ai vu, nous avons combattu ensemble Anubis.
Jackson : Anubis ?
O'neill  : Oui, c'est ça. Notre ennemi. Il est pas très très sympathique comme garçon. Il a un manteau noir, un regard noir, enfin il est très noir.


Hammond : Vous ne vous souvenez vraiment pas de moi ?
Jackson : Non, je ne sais pas qui vous êtes.
O'neill  : Ni moi d'ailleurs.
O'neill  : Venez. C'est par là. [L'équipe quitte la salle de la Porte] Vous avez aussi oublié que vous me deviez de l'argent ?


[Frasier vient juste de rendre ses lunettes à Daniel]
O'neill : Vous me reconnaissez maintenant ?
Jackson : Vous avez toujours été coiffé comme ça ?
O'neill : Oui, pourquoi ? [Regarde Daniel bizarrement].
Jackson : Non, non, pour rien.


Jackson : Excusez-moi, je suis en retard. J'avais oublié l'heure de la réunion.
[Long silence]
Jackson : C'était une blague en rapport avec mon amnésie.
Hammond : Dr Jackson, ce briefing est classé top secret.
Jackson : C'est ce que Jonas m'a dit mais... avant je faisais aussi partie de l'équipe et... je ne trouve pas de raison valable à vous donner. Sauf que je sens que ma place est ici.
Hammond : Ça, c'est une raison suffisante.
Jackson : Et puis à qui je pourrais aller raconter ce que vous direz. Je ne me souviens plus de qui que ce soit.
O'neill : Très drôle.
Jackson : C'est gentil, Jim.


O'neill : Que tous ceux qui pensent que cette idée est parfaitement ridicule lèvent la main bien haut ! Allez ne vous gênez pas, bien haut ! [Tous les auditeurs lèvent petit à petit la main] Levez la main !
[Dépitée, Carter lève la main aussi.]
Hammond : Vous pouvez garder les mains levés parce que la question suivante est : qui va accomplir cette mission ?


[Dans un F-302]
O'neill : J'avais demandé Leader Rouge comme nom de code.

  • Référence à Star Wars


[Daniel et Jonas fouillent l'ordinateur d'un vaisseau mère Goa'uld alors que des Jaffas tentent de les capturer]
Jonas : Pourquoi vous ne lancez pas une recherche avec des mots-clés ?
Jackson : Point faible, ça ira ?
Jonas : Vous faites des progrès Dr Jackson. Votre mémoire revient de même que votre légendaire sens de l'humour.


Retour aux sources (2/2) [7.2]

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O'neill : Vous connaissez l'histoire du loup qui avait juré de ne pas attaquer les moutons ? Elle parle des joies de l'entente cordiale, mais aussi de... gigôts.


Jonas : Où sont les hangars ?
Jackson : Euh... Par là !
Jonas : Vous êtes sûr ?
Jackson : Non !
Jonas : [En reproche] Ah, c'est bien, ça...


Commandant Hale  : Huit hommes, c'est tout ? Vous appelez ça des renforts, vous ?
O'neill : Mais ce sont les huit meilleurs.


Jackson : Qu'est ce que j'étais bien sur la planète où vous m'avez retrouvé. La vie était paisible, les gens gentils.
Jonas : Vous n'aviez qu'à y rester.
Jackson : J'avais oublié comment ça se passait ici.
Jonas : C'est la grande vie. Si jamais on s'en sort...
Jackson : Je vous laisse mon ancien bureau...
Jonas : Non, je voulais parler de la place dans l'équipe.


O'neill : Vous êtes complètement idiot. Vous le savez ça ?
Commandant Hale : En échange de cet artéfact, Anubis a accepté de ne pas envahir le territoire Kelownien.
O'neill : Ce qui confirme exactement ce que je viens de dire.


Herak : Quant à vous tous, vous serez publiquement exécutés. Votre mort dissuadera ceux qui voudraient défier leur dieu.
O'neill : Est-ce que ça doit être obligatoirement public ?
[Herak pointe sa lance Goa'uld sous le nez d'O'neill]
Herak : Préférez-vous mourir tout de suite ?
O'neill : [En déviant l'arme] En public, j'adore !


[Jonas quitte la Terre pour aller diriger Kelowna. On lui fait des adieux.]
O'neill : Vous avez toutes vos petites affaires ? Votre brosse à dents ? Vos pantoufles ? Votre sèche-cheveux ?


O'neill : On mange à 19h. Tâchez de pas être en retard, Teal'c devient grognon s'il ne dîne pas à heure fixe.
Jackson : Jack ? Avant d'accepter de revenir, de réintégrer SG-1 et d'explorer la galaxie, tout en sauvant le monde au péril de nos vies, j'ai oublié de vous demander un truc... On est payés pour ça ?
O'neill : [Il sourit] Bienvenue à bord.


L'Apprenti sorcier [7.3]

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[Le colonel O'neill a été rajeunit]
Clone de O'neill : Daniel ! Dites leur qui je suis, s'il vous plaît! Merci!
Jackson : Ça serait avec joie si je le savais.
Hammond : D'après ce qu'il dit, ce jeune homme serait le colonel O'neill.
Jackson : Est-ce-que c'est une blague ? [Sam fait non de la tête] Alors qui est-ce ?
Clone de O'neill : Daniel !
Jackson : Je reconnais bien sa façon de hurler mon prénom.


Hammond : Vous croyez que le colonel O'neill aurait pu rajeunir de plus de 30 ans du jour au lendemain ?
Jackson : Il en a vu d'autres monsieur.
Teal'c : Pas d'aussi bizarre.
Jackson  : Non, excepté la fois où il s'est transformé en vieillard, ou en cro-magnon ou la fois où des robots nous ont...


Hammond : Bien, en attendant il ne nous reste qu'à l'installer [O'neill] le plus confortablement possible.
Carter : Je vais lui apporter une console.


[Teal'c fouille le frigo de Jack]
Teal'c : Meneriez-vous une expérience sur le développement bactérien ?
Clone de O'neill : Laissez mon reste de chili tranquille !


[Carter en plein briefing avec les pilotes de F-302]
Carter : Si vous regardez votre dossier, capitaine, vous serez que le F-302 est pourvu d'absorbeurs inertiels dont je peux vous parler encore mieux que le colonel, donc veuillez ouvrir le...
[O'neill dans le couloir tente d'entrer mais des gardes surveillent la porte]
Clone de O'neill : Mais je veux seulement dire un petit... Aïe!
Soldat : Désolé mais je vous déconseille de résister.
Clone de O'neill : Lâchez-moi espèce de gros...
Soldat : N'insistez pas !
Clone de O'neill : Je vous préviens une dernière fois et après je m'énerve ! Très bien, vous l'aurez voulu je suis énervé !
[Carter sort de la pièce et voit O'neill immobilisé]
Carter : C'est bon, vous pouvez le lâcher.
Clone de O'neill : Voie de fait sur un officier supérieur, ça pourrait vous coûter cher. Carter. Si j'avais voulu...


[Pendant le même briefing]
Clone de O'neill : Capitaine, je n'ai pas eu le temps de faire coudre de galons de colonel sur mon uniforme. Vous voulez le faire ?


Jackson : [Au clone de O'neill] On a quelque chose à vous dire qui risque de vous déplaire, alors, euh... n'en veuillez pas à Sam quand elle vous l'annoncera.


O'neill : J'ai dormi pendant combien de temps ?
Carter : Environ sept jours.
O'neill : Record battu.


Loki : Je suis généticien, je faisais partie du Haut Conseil Asgard.
Carter : Vous faisiez partie ?
Loki : J'en ai été chassé pour avoir procéder à des expériences interdites sur des humains.
O'neill : Parce qu'il y en a qui sont autorisées ?


Loki : En m'en servant comme modèle, j'espérais réussir à fabriquer un clone susceptible d'abriter toute l'étendue de notre intelligence supérieure. Malheureusement, je n'y suis pas parvenu.
Clone de O'neill : Pourtant avec une intelligence supérieure de cette étendue.
O'neill : C'est exactement ce que j'allais dire.


Jackson : Pourquoi avez-vous repris des expériences qu'on vous a interdites il y a dix-neuf ans ?
Loki : Parce que je croyais qu'O'neill était la clef.
O'neill et son clone : Moi ?
Loki : Je pensais que son ADN renfermerait les informations que je cherchais.
O'neill et son clone : Mon ADN ?
O'neill : [A son clone] Bon ça suffit !
Loki : O'neill s'est montré suffisamment évolué pour recevoir et même utiliser les connaissances des Anciens. Aucun humain n'en aurait été capable il y a à peine une génération. Vous représentez une étape significative de l'évolution humaine.
Jackson : Et vous venez seulement de vous en rendre compte ?
Loki : Je l'ai appris en même temps que les autres Asgards. O'neill est une légende vivante chez nous.


Les Esclaves d'Erebus [7.4]

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Jackson : D'où ça vient, ça ?
Teal'c : Ca vient de O'neill. Il m'offre de la gélatine colorée afin de montrer qu'il compatit à ma douleur.
Jackson : C'est gentil de sa part.
Teal'c : Oui, mais inutile.


[Carter parle d'un film qu'elle vient de voir, probablement The signs]
Carter : S'ils ont réussi a traverser toute la galaxie c'est que leur technologie est assez évoluée. Pourtant ils essayent d'envahir la Terre à mains nues. Et leur point faible, je vous le donne en mille : ils ont horreur de l'eau. Et du coup je ne vois pas quel est l'intérêt d'attaquer une planète qui en est couverte aux deux tiers. Et où il pleut tout le temps.
Jackson : Et quel est celui d'aller voir ces films s'ils sont tellement mauvais ?
Carter : Ca me fait rire à chaque de fois de voir à quel point ils sont loin de la vérité.


O'neill : Qu'est ce qu'il fait, là ?
Jackson : Il est en train de passer ses nerfs sur ce pauvre Jaffa... Imbécile.
O'neill : Je vous demande pardon ?
Jackson : Je vous répète ce qu'il a dit.


O'neill : Bon, il est temps de passer au plan B.
Carter : [Etonnée] On a un plan B ?
O'neill : Non, mais il est temps d'en trouver un.


Jackson : Il nous faut une diversion.
Carter : On a des grenades.
O'neill : C'est pas assez.
Carter : On a des mortiers.
O'neill : [En regardant un vaisseau-mère en construction] On a beaucoup mieux que ça.


Le Réseau [7.5]

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Nevin : Combien de monde vous avez exploré ?
O'neill : J'en sais rien. Des tas.
Nevin : Plus de 10 ?
O'neill : Ouais.
Nevin : Plus de 20 ?
O'neill : Oui.
Nevin : Plus de 30 ?
O'neill : Oui.
Nevin : Plus de 40 ?
O'neill : Oui
Nevin : Plus de 50 ?
O'neill : Oui et peut-être...
Kendrick  : Nevin, laisse nos invités manger tranquillement.
Nevin : Encore plus que 50 alors ?
O'neill : [Doucement, à Teal'c] On va peut-être aller dormir à l'hôtel.


Vaisseau fantôme [7.6]

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Carter : On dirait qu'ils ont été mis en sommeil cryogénique de manière à supporter un long voyage. Si une civilisation ne dispose pas de vaisseau dépassant la vitesse de la lumière, elle n'a d'autre choix que de recourir à l'hibernation. Sinon, les voyages interstellaires lui prendraient plusieurs générations sans parler des effets de la relativité sur...
O'neill : [Exaspéré] Donc le vaisseau est rempli de surgelés.


Hammond : Colonel, Major, vous vous sentez bien ?
O'neill : Mon général, j'ai un marteau dans le crâne.
Hammond : [Amusé] Le colonel est égal à lui-même.


Frasier : Non mon colonel, vous devez rester allongé au moins le temps que vous récupériez.
O'neill : [Essaye de s'asseoir] Je suis en pleine forme.
Frasier : Allongez vous tout de suite.
O'neill : [Quasi incapable de bouger] Bon c'est vrai que ça ne va pas fort.


Teal'c : L'éclectro-encéphalogramme de Daniel Jackson est anormalement confus.
O'neill : Et vous trouvez que ce que vous venez de dire est clair ?


[Frasier vient de transférer les autres personnalités de Daniel dans le corps de Pharrin]
Frasier : Je n'y suis pour rien, c'est Daniel. Sa conscience s'est repliée sur elle-même et il n'a jamais réimmergé plus de quelques secondes. C'est ce qui a permis à Pharrin de séparer les autres esprits de celui de Daniel pour les réabsorber en lui.
O'neill : Plus on est de fous, plus on rit.
Frasier : Il restera en animation suspendue le temps qu'on ranime tous les autres passagers et ensuite ils s'occuperont de lui.
O'neill : Vous voulez dire, d'eux.
Carter : Le générateur à Naquadah fournit toute la puissance nécessaire.
Teal'c : Nous allons pouvoir commencer à réveiller les autres passagers dans quelques heures.
Carter : Et ensuite on les amenera sur une planète accueillante.
O'neill : Parfait. Ceux de SG-4 joueront les agents immobiliers, ils adorent ça.


[Daniel vient de reprendre conscience]
O'neill : Comment ça va ?
Jackson : Mal à la tête.
O'neill : Vous avez un marteau dans le crâne ?
Jackson : Oui, on peut dire ça.
O'neill : Je connais.


Les Envahisseurs [7.7]

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Edwards : Le pentagone veut des croiseurs et des F-302. Nous on cherche le minérai.
O'neill : Et nous on cherche les chercheurs de minerai. C'est simple.


Jackson : Vous vous souvenez de ça ?
O'neill : Comme si c'était hier.
Jackson : C'est dingue qu'il marche encore.
O'neill : Les goa'ulds ont des piles alcalines.


Jackson : Colonel, les Unas défendent toujours leur territoire et si on les provoque, ils peuvent être extrêmement dangereux.
Edwards : [à propos de Jackson] Il est toujours comme ça celui là ?
O'neill : Et encore il est calme.


Jackson : Le colonel Edwards ne sait pas du tout s'y prendre avec les Unas.
O'neill : Ni avec vous. C'est un bon officier qui, vu la situation, a le droit d'être un peu tendu.
Jackson : Oui, c'est vrai. Ce qu'il y a, c'est que j'ai eu beaucoup de mal à vous dresser alors ça m'embête de devoir tout refaire avec un nouveau colonel.
O'neill : Ça va bien se passer. Mettez-y du votre. Essayez d'être un peu moins... [O'neill cherche ses mots]
Jackson : Un peu moins quoi ?
O'neill : Vous savez ce que je veux dire.


Edwards : [à Daniel] O'neill avait raison à votre sujet. Vous êtes un casse-pied hors norme. Mais vous êtes très doué.


La Grande Épreuve [7.8]

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Warrick : Je vous présente Eamon. C'est lui qui a fait du Seberus le vaisseau que vous voyez aujourd'hui. Mais c'est avant tout mon petit frère.
O'neill : Ah bah oui, la ressemblance est frappante. Vos écailles sont du même vert. C'est des écailles, hein ? [Embarrassé]


Warrick : Major Carter, pour être un bon copilote, vous devez connaître le vaisseau par cœur.
Carter : [Elle prend le livre que Warrick lui tend] Qu'est ce que c'est ?
Warrick : Les plans et le manuel complet du Seberus, je les ai faits traduire pour vous.
Carter : C'est très gentil.
O'neill : [Jette un œil au livre] Mais c'est quoi cette langue bizarre ?
Carter : Ce sont des maths mon colonel.


O'neill : Vous venez Teal'c ?
Teal'c : Moi, je reste ici, le Major Carter a demandé mon assistance.
O'neill & Carter : Ah oui ?
Teal'c : En effet.
Carter : C'est vrai, ça m'était sorti de la tête.
Teal'c : Profitez de la visite diplomatique, O'neill.
O'neill : Merci, j'en frémis d'avance.
[O'neill s'en va avec Warrick]
Teal'c : Vous m'avez sauvé Major Carter.
Carter : En effet.


O'neill : Mais combien de fois il faut que je vous le dise ? Ne vous laisssez pas capturer par les méchants.


Le Vengeur [7.9]

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Felger : Le colonel O'neill et moi, on a affronté la mort tous les deux. Après m'avoir décoré, Jack m'a regardé droit dans les yeux et il m'a dit : Jay,...
O'neill : [Entre dans la pièce] J'espère que ça va pas être trop long.
Felger : Colonel O'neill ?
O'neill : Folger ?
Felger : Felger. Je ne savais pas que vous viendriez aussi, mon colonel.
O'neill : Moi non plus.


Carter : Il s'agit d'une arme énergétique susceptible de remplacer les missiles sur le X-303.
O'neill : Un phaser ?
Carter : Plutôt une sorte de torpille à photons.


O'neill : Alors vous préférez rester devant votre ordinateur plutôt que de venir vous promener au grand air avec nous.
Carter : Ce n'est pas de gaité de cœur, mon colonel, mais je pense vraiment qu'il faut creuser cette idée.
O'neill : Qui est de Felger !
Carter : Je vous rappelle qu'il nous a sauvé la vie.
O'neill : Oui, ça faudrait pas l'ébruiter.
Teal'c : Si nous parvenons à désactiver les portes des étoiles à distance, nous disposerons d'un énorme avantage tactique sur les Goa'ulds.
O'neill : Oui, si ça marche.
Carter : C'est ce que je vais tâcher de déterminer.
O'neill : Pensez bien aux lunettes de protection.


O'neill : [Sur une autre planète, contacte Carter restée sur Terre par MALP] Je croyais vous avoir dit de vous méfier de cette espèce de sale rat de laboratoire.
Felger : [Tout bas] Il sait que je suis là ?


Felger : Coupable moi ? Non. Ça a dû prendre au moins mille ans aux Anciens pour construire les portes des étoiles, et moi, j'ai tout détruit en une journée. Sans oublier le fait que j'ai isolé douzes équipes sur d'autres mondes tout en nous privant des ressources nécessaires à notre défense, nous laissant donc à la merci du premier Goa'uld venu. Pourquoi je m'en voudrais ?


Felger : Tout le monde sait que vous êtes parfaite, major.
Carter : Arrêtez, je ne suis pas parfaite.
Felger : Et il faut que vous soyez modeste, en plus. Mais c'est logique, ça fait partie de votre perfection.


Felger : [Sur le point de partir désactiver son virus] Je suis un professionnel, ça va aller.
Chloe : Jay, prenez l'antivirus.


Felger : C'est super de se retrouver là, tous les deux, à l'aventure. Comme si on était les Butch Cassidy et le Kid de la science.
Carter : Butch Cassidy et le Kid se sont fait exécutés par l'armée bolivienne, je vous rappelle.
Felger : Ah oui, j'avais oublié ce détail.
[Un Jaffa apparaît. Carter met Felger à l'abri.]
Felger : Qu'est ce qui se passe ?
Carter : On a un problème.
Felger : Un problème ? Quel genre de problème ?
Carter : Genre armée bolivienne.


Les Amazones [7.10]

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Jackson : [À propos des Hak'tyl] Elles me font penser à l'ancien mythe grec des Amazones.
O'neill : Ah ouais, moi aussi.
Jackson : En gros Teal'c, c'était un peuple de guerrière qui de temps en temps capturaient des hommes dans d'autres tribus pour s'en servir comme reproducteurs. Et d'après la légende, elles se coupaient le sein droit pour tirer plus facilement à l'arc.
O'neill : Ce qui n'a pas l'air d'être le cas ici, elles n'ont pas... d'arc.
Jackson : Oui, bien observé.
O'neill : Attendez, si ça se trouve, c'est pour ça qu'elles nous ont capturés. Elles veulent seulement se servir de nous. Enfin, de nous trois je veux dire.
Jackson : Quoi, comme reproducteurs ? Non, ça m'étonnerait.
O'neill: Vous me connaissez, je suis toujours prêt à rendre service.
Carter : Qu'est-ce-qu'il ne faut pas entendre...


[Daniel explique à Nesa qu'il porte des lunettes car il voit mal]
Mesa : C'est peut-être un symbiote qu'il vous faut ?
Jackson : Merci, ça va aller, les lunettes me suffisent.


[Les Hak'tyl, le peuple d'Amazones, remercient l'équipe SG-1 pour leur avoir donné accès à la trétonine]
O'neill : Si vous avez besoin de quoi que ce soit, je veux dire n'importe quoi, surtout n'hésitez pas. Téléphonez ou envoyez un coursier.


La Fontaine de Jouvence (1/2) [7.11]

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Colonel Reynolds : Vous n'avez pas confiance dans le plan A ?
O'neill : Vous savez bien qu'ils ne marchent jamais nos plans A.


O'neill : [Par radio] SG-3, ici SG-1, vous n'avez toujours rien à signaler ?
Un membre de SG-3 : Pas pour l'instant mon colonel, la porte est inactive. On reste en position.
O'neill : [à Carter] En attendant, si on faisait un billard ?


Dr Lee : Vous vous sentez pas à l'étroit, vous ? Non mais c'est vrai, ils n'auraient pas pu les faire un peu plus large leurs couloirs.
Jackson : Les mayas étaient peut-être très maigres.
Dr Lee : Et puis faut faire attention au plafond en plus.
Jackson : Ils devaient être maigres et petits.


[O'neill fait un long discours à Ramius qui retient prissonniers les Tau'ri venu capturer le Super Soldat d'Anubis]
O'neill : Salut à vous ! [Il fait le salut vulcain] Alors voilà, vous devez vous dire que nous sommes venus pour vous tuer. Mais c'est un simple malentendu. Non, c'est pas du tout ça. En fait, si on est là, c'est pour vous aider. Si, si, je vous jure. J'ai pas raison ? [Ses compagnons de cellule acquièsent] Vous allez rire, c'est un vrai quiproquo. En fait, nous sommes venus vous protéger d'un assassin et lui, lui, il veut vous tuer. Vous voyez comme c'est curieux ? [Ramius reste impertubable] Bon d'accord. Vous connaissez l'assassin. Il est balèze, il a l'air méchant, il est habillé tout en noir. D'ailleurs, il a failli vous tuer une fois. Enfin bref, c'est lui qu'on est venu chercher, pas vous. Voilà, vous n'avez plus qu'à nous faire gentillement libérer. Et vous n'entendrez plus parler de nous, ni nous de vous, enfin j'espère.
Ramius : Jaffa, Kree!
[Ramius s'en va]
Carter : Joli discours mon colonel.
O'neill : Merci Carter.


Teal'c : Ramius vous forçera tous à mourir pour couvrir sa faute.
Jaffa : Mon dieu va se battre pour son peuple.
Bra'tac : Tu te trompes mon frère, ton dieu doit être à quatre pattes en train de pleurer comme un enfant. Ils ont peur de se battre, ils se cachent et ils n'hésitent pas à sacrifier leurs fidèles Jaffas pour s'enfuir comme des lâches.
[Le jaffa s'en va.]
O'neill : Et nous alors ? C'est bizarre, j'étais persuadé que j'arriverai à le convaincre.


La Cité perdue (1/2) [7.21]

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Contexte : Jack O'Neil a collé sa tête dans une bibliothèque des Anciens pour découvrir l'emplacement de la cité perdue "Atlantis".

O'Neill : Hammond vous envoie prendre de mes nouvelles ?
Carter : Non ! En fait c'est drôle, vous allez rire. Je faisais un tour en voiture, comme ça pour rien, et à force de me balader, j'ai atterri pas loin de chez vous alors euh... (soupire bêtement)
O'Neill : Ah oui, oui, c'est drôle, je ris.
...
Carter : Je regrette de ne pas l'avoir fait !
O'Neill : Quoi ? Coller votre tête dans ce truc ? Vous êtes cinglée ! Carter, vous êtes l'une des plus grandes ressources naturelles de ce pays, voire même ... l'un de nos trésors nationaux !... On avait pas le choix Carter, c'est comme ça !
...
Daniel Jackson : Vous allez rire en fait c'est assez rigolo... Voila, Teal'c et moi on passait dans le coin par hasard et on a vu la voiture de Sam devant alors...
O'Neill : Désopilant !
Daniel : Oui, donc à ce moment là, Teal'c m'a dit... Enfin non, il n'a rien dit mais il a soulevé un sourcil lourd de sens et là, J'AI dis, puisqu'on est là, pourquoi ne pas s'arreter...
O'Neill : Ce sont des donuts ?
Teal'c : en effet !


O'Neill : Non, non, non, vous n'y connaissez rien ! C'est un super analogie ! Monsieur Burns est un Goa'uld ! C'est clair.
Teal'c : Ce n'est qu'un dessin animé humoristique O'Neill.
O'Neill : Ne soyez pas si... superficiel.
Daniel [qui était en train de jouer avec une orange en équilibre sur sa bouteille de bière, la laisse à moitié tomber] : Ne dîtes pas ça, Teal'c est l'homme le plus profond de l'Univers. Je vous assure ! Il est pire qu'Oma ! Dîtes lui vous (se tournant vers Teal'c) à quel point vous êtes profond. (se retournant vers Carter et O'Neill) On va rien comprendre ! Ça va être génial !
...
Teal'c : Pour comprendre la profondeur, il faut savoir chuter !
Daniel : Ah, je vous l'avais dit !
O'Neill : Alors, plus de bière hein Daniel !
...
O'Neill [croyant ouvrir au livreur de pizzas, découvrant Hammond] : Qu'est-ce qui est arrivé à mon livreur habituel ?
Hammond : J'espère que je ne dérange pas !
O'Neill : Non, non, il ne manquait plus que vous !


Daniel : Treize horizontal, vous avez écrit le mot 'Thaonas' !
O'Neill : Oui, et alors ? Qu'est-ce que ça veut dire ?
Daniel : Ne me le demandez pas à moi ! Huit vertical vous avez écrit 'Tracklarouch'.
Carter : C'est quoi la définition ?
Daniel : Euh, d'après le nombre de case et les autres lettres, la réponse devrait être 'identité'. Et le Treize vertical serait 'Sphère'. Jack c'est ça !
O'Neill : Je croyais que c'était moi qui devait me mettre à raconter n'importe quoi ! Mais en fait non !
Daniel : Mais la planète est bien une sphère, et mon identité c'est mon nom !
O'Neill : Notre traducteur a besoin d'un traducteur !
...
Carter : Sept horizontal, corps exerçant une attraction puissant, il a répondu Uma Thurman.