Publius Syrus
Apparence
Publius Syrus (Syrie vers 85 Av. J.-C. - Rome en 43 Av. J.-C.) est un auteur latin. Sa principale œuvre est un ensemble de maximes, rassemblées dans une liste de 1087 Sentences.
Sentences
[modifier]Ne fais pas ta joie du malheur d'autrui.
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 5
Moins on possède, plus on doit donner à ses amis.
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 5
Il n'est pas permis de blesser un ami, même en plaisantant.
- (la) Amicum laedere, ne joco quidem licet.
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 7
- Citation choisie pour le 13 avril 2017.
On oblige doublement celui dont on prévient les besoins.
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 11
Les blessures de la conscience ne cicatrisent jamais.
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 15
Tout discours flatteur cache un poison.
- (la) Habet suum venenum blanda ovatio
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 33
Qui pardonne une faute engage à en commettre d'autres.
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 75
C'est être condamné tous les jours que de craindre de l'être.
- Sentences de Publius Syrus traduites en français (Ier siècle av. JC), Publius Syrus (trad. Francis Levasseur), éd. C. L. F. Pancoucke, 1825, p. 77