Lucie Delarue-Mardrus
Apparence
Lucie Delarue-Mardrus, née à Honfleur le 3 novembre 1874 et morte à Château-Gontier le 26 avril 1945, est une poétesse, romancière, journaliste, historienne, sculptrice et dessinatrice française.
Citations
[modifier]Toi mère et toi, ma sœur Marie
Pour moi récitez un Ave
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire est arrivé
Pour moi récitez un Ave
Allons enfants de la patrie
Le jour de gloire est arrivé
- Le 16 août 1914, au tout début de la Première Guerre mondiale.
- La France en guerre (1914-1918) : La grande mutation, Jean-Jacques Becker, éd. Complexe, 1988, p. 47
Il est plus difficile de se pardonner des griefs mal définis que des torts précis.
- Comme tout le monde, Lucie Delarue-Mardrus, éd. J. Tallandier, 1910, chap. Le gentil ménage, p. 1-14 (texte intégral sur Wikisource)
Léon entend bien les rumeurs du corridor, mais ne s’en préoccupe pas. Il sait qu’Isabelle est là. « Elle se débrouille », pense-t-il. Le rôle de la femme, dans la maison, est de se débrouiller. C’est pour cela surtout qu’un homme se marie.
- Comme tout le monde, Lucie Delarue-Mardrus, éd. J. Tallandier, 1910, chap. En pleine poussière, p. 15-24 (texte intégral sur Wikisource)
Alors, un soir, excédée des paroles désagréables de son mari, des cris de ses enfants, des travaux bas dont elle s’est fatiguée tout le jour, elle a cette inspiration : « Il faut que j’aie un nouvel enfant ! »
- Comme tout le monde, Lucie Delarue-Mardrus, éd. J. Tallandier, 1910, chap. L’expiation, p. 131-138 (texte intégral sur Wikisource)
Ils veulent être trompés, ma chère. Cela leur ôte un peu du fardeau de l’âme féminine. C’est trop lourd à porter pour un seul, l’âme d’une femme.
- Comme tout le monde, Lucie Delarue-Mardrus, éd. J. Tallandier, 1910, chap. La tragique sœur de lait, p. 139-152 (texte intégral sur Wikisource)