Les Visiteurs
Les Visiteurs est un film français de Jean-Marie Poiré sorti en 1993. Les dialogues sont signés Christian Clavier et Jean-Marie Poiré.
Répliques
[modifier]Jacquart : Vous vous planquiez dans la cheminée mais pourquoi ?
- Christian Clavier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Duc de Pouille : Du vin, servante, que je pisse à foison ! (rot)
Frénégonde : Père, vous aviez juré pour mes épousailles de ne point roter au dîner.
Duc de Pouille : (rot).
- Patrick Burgel, Valérie Lemercier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Jacquouille : Elle peut transformer une armée en vomi de crapaud. On dit que si elle vous touche des pustules vous jaillissent du corps, on perd ses cheveux et on pissoie de la boue. Elle peut maudire sur cinq générations !!
- Christian Clavier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Jacquouille : Messire, un Sarrasin dans une charriote du diable ! C'est tout ferré, y a point de bœuf pour tirer !
- Christian Clavier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Jacquouille : Merci, la gueuse ! Tu es un laideron mais tu es bien bonne.
Ginette : T'as pas vu ton pif ? (Jacquouille s'essuie le nez du revers de la main) Quand tu te mouches, t'as pas l'impression de serrer la main à un pote ?
- Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Jean-Pierre : J’emmène pas la clocharde ! Ma voiture c’est pas l’arche de Noé !
- Christian Bujeau, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Godefroy : Quelle infamie ! Où sont passées la nature et les forêts ? Tout est laid ! Il n'y a plus un hectare sauvage pour chasser ! L'air est suffocant, ça puir !
Jean-Pierre : Ne vous plaignez pas. Si vous voyiez ce qu'ils ont fait pour la rocade de Villerville !
- Jean Reno, Christian Bujeau, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Jacquouille : Et on lui pèlera le jonc comme au bailli du Limousin.
Godefroy : Qu'on a fendu un beau matin. On l'a pendu avec ses tripes !
- Christian Clavier, Jean Reno, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Godefroy : Où sont les poulardes ? J'ai faim ! Où sont les veaux, les rôtis, les saucisses ? Où sont les fèves, les patés de cerf ? Qu'on ripaille à plein ventre ! Il n'y a pas quelques Soissons avec de la bonne soivre ? Un porcelet, une sèvre en rôti, quelques cygnes blancs bien poivrés ? Ces amuse-bouches m'ont mis en appétit !
- Jean Reno, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Godefroy (empoignant Jacquart par le col) : Fieffé menteur. Si tu es fier de ta famille, pourquoi ne portes-tu pas ton vrai nom ? Quel est l'effroyable secret que tu caches ? Un ogre ? Une sorcière ? Un bouilleur d'enfants ?
Jacquart : Mais lâchez-moi, sale nazi ! S'il n'est pas capable de comprendre qu'il vaut mieux s'appeller Jacquart que Jacquouille, mais qu'il prenne de la Juvamine !
- Jean Reno, Christian Clavier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Béatrice : Le personnage historique de la famille, c'est Gonzague de Montmirail. Né en 1754. Il a épousé les idées de la Révolution. Il était contre les privilèges et pour partager les terres avec les paysans. Il était député à la constituante. C'était le meilleur copain de Lafayette. Il n'a pas été récompensé pour son courage politique : Robespierre lui a fait couper la tête.
Godefroy : Quel bon sens, ce Robespierre !
- Valérie Lemercier, Jean Reno, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
- Jean Reno, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Jacquouille : Tu es amichée comme une belle pomme, la belle Ginette.
Ginette : Eh, allons, allons. Pas touche, eh mon couillon !
- Christian Clavier, Marie-Anne Chazel, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Ginette : Lâche-moi, ordure ! Je suis accidentée du travail à 60 %.
Le Maître d'hôtel : T'expliqueras ça à la police.
Jacquouille : Lâche Dame Ginette ! Lâche-la, le gueux ! Dame Ginette est ma bonne et douce amie.
Le Maître d'hôtel : Madame est une amie de Monsieur ?
Jacquouille : Oui. Elle est aimable et c'est grand plaisir que de l'accueillir ici.
Le Maître d'hôtel : Comme Monsieur voudra. Mais comme Madame avait la tête dans la poubelle...
Ginette : Si tu fouillais un peu plus souvent dans les poubelles, tu aurais sans doute un plus joli nœud pap' ! C'est vrai ça, les gens avec tout leur pognon jettent des trucs qui servent encore vachement bien ! Pas plus tard qu'hier, j'ai trouvé ces super-collants à peine filés.
- Marie-Anne Chazel, David Gabison, Christian Clavier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Godefroy : Ma fillote, que fait ton mari cul nu devant cette femme ? Elle lui frotte le fessard.
Béatrice : Hub, c'est une infirmière qui lui fait une piqûre, okay ?
- Jean Reno, Valérie Lemercier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Godefroy : Ah c’était beaucoup plus accueillant autrefois, on faisait brûler des arbres entiers ! Il y avait de beaux tapis sur les sols et les murs, il n’y avait pas une soirée sans jongleurs, ménestrels et ribaudes... Hahaha, j’ai souvenance d’une nuit ou un cracheur de feu avait enflammé la coiffe de dame Flegmonde. On a dû la jeter toute habillée dans les douves qui étaient alors gelées...
- Jean Reno, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier
Jacquart : Qu'est-ce que c'est que ce binz ?
- Christian Clavier, Les Visiteurs (1993), écrit par Jean-Marie Poiré, Christian Clavier