Les Sept Mercenaires
Les Sept Mercenaires est un western réalisé par John Sturges en 1960, directement inspiré du film d'Akira Kurosawa, Les Sept Samouraïs, réalisé en 1954. Le scénario est très proche: les habitants d'un petit village, excédés de se faire piller par des bandits, engagent des professionnels pour les défendre. Une nouvelle version est réalisée en 2016.
Citations
[modifier]- (en) Henry, le vendeur de corsets : I never knew you had to be anything but a corpse to get into Boot Hill.
- Val Avery, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
- (en) Chris Adams : The graveyards are full of boys who were very young, and very pride.
- Yul Brynner, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
- (en) Chris Adams : Things do get high when they find out you're on the run.
- Steve McQueen, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
- (en) Calvera : If God didn't want the sheared, he would not have made them sheep.
- Eli Wallach, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
- (en) Lee : Only the deads are without fear.
- Robert Vaughn, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
- (en) Britt : Nobody throws me my own guns, and says run. Nobody.
- James Coburn, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
- (en) Chris Adams : Only the farmers won; we lost. We always lose.
- Yul Brynner, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Dialogues
[modifier]Hilario : Et même si on n'avait des fusils, nous autres, on sait planter, semer. Mais on a jamais su tuer.
L'Ancien : Alors apprenez! Ou mourrez!
- (en)
Hilario : Even if we had guns, we know how to plant and grow. But we don't know how to kill.
L'Ancien : Then learn! Or die!
- Jorge Martínez Hoyos , Vladimir Sokoloff, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Chris Adams : On arrive (au cimetière).
Vin Tanner : C’est pas d’arriver là-bas qui m’inquiète. C’est plutôt d’y rester.
- (en)
Chris Adams : We'll getting there.
Vin Tanner : It's not getting up there that bothers me. It's staying up there that I mind.
- Yul Brynner, Steve McQueen, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Tomas : On vous donne tout ce que l'on a. Tout ce qui a de la valeur dans notre village.
Chris Adams : On m'a offert beaucoup pour mes services, mais jamais tout ce qu'on avait.
- (en)
Tomas : Everything we own. Everything of value in the village.
Chris Adams : I've been offered a lot of for my work, but never everything.
- Pepe Hern, Yul Brynner, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Vin Tanner : Chris! Et ce filet?
Chris Adams : Si jamais ils ne regardent pas en l'air, si ils se tapent dedans sans y prendre garde.
Vin Tanner : Ça en fait des si.
- (en)
Vin Tanner : Chris! What about that net?
Chris Adams : Well, if he's not looking for it, if he rides in unsuspecting.
Vin Tanner : If, brother! If!
- Steve McQueen, Yul Brynner, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Calvera : Un nouveau mur.
Chris Adams : Il y a des tas de nouveaux murs. Tout autour.
Calvera : Ça ne m'empêchera d'entrer.
Chris Adams : Ça vous empêchera de sortir.
- (en)
Calvera : New wall.
Chris Adams : There are lots of new walls. All around.
Calvera : They won't keep me out.
Chris Adams : They were built to keep you in.
- Eli Wallach, Yul Brynner, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Vin Tanner : Notre métier, c'est de faire parler le fusil.
Calvera : Le mien aussi. Comme ça, on est sur un pied d'égalité.
Vin Tanner : On l'est comme concurrent.
- (en)
Vin Tanner : We deal in lead, friend.
Chris Adams : So do I. We're in the same business, hum?
Vin Tanner : Only as competitors.
- Steve McQueen, Eli Wallach, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Chris Adams : Bernardo O'Reilly! Te voilà adopté.
Bernardo O'Reilly : C’est mon vrai nom, en fait. Mexicain d'un côté, Irlandais de l'autre, et moi au milieu.
- (en)
Chris Adams : Bernardo O'Reilly! You've benn adopted.
Bernardo O'Reilly : It's my real name. Mexican on one side, Irish on the other, and me in the middle.
- Yul Brynner, Charles Bronson, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Vin Tanner : Ça me rappelle l’histoire de ce type à El Paso qui s’était jeté dans un cactus après s’être mis tout nu ; moi aussi, je lui ai demandé pourquoi.
Calvera : Alors ?
Vin Tanner : Il m’a dit que sur le moment, l’idée l’avait tenté.
- (en)
Vin Tanner : A fella I knew in El Paso took all his clothes off, and jumped on a cactus. I asked him the same question: why?
Calvera : And?
Vin Tanner : He said: "it seemed to be a good idea at the time".
- Steve McQueen, Eli Wallach, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts
Chico : Sales fermiers! Ni honneur, ni loyauté, rien! Y'a qu'une chose pour eux: leurs précieuses récoltes, et le coin de terre qu'ils labourent. Ils me dégoutent. Ils me dégoutent tous.
Chris Adams : Oh oui, je sais bien. Parce que toi-même, tu viens d'un coin de terre comme eux. Toi aussi, tu es un fermier.
Chico : Oui! oui, c'est vrai, je suis comme eux. Mais qui a fait de nous ce que nous sommes maintenant? Des hommes aux revolvers. Des gens comme Calvera, et des hommes comme toi. Et aujourd'hui, moi.
- (en)
Chico : Farmers! No honour, no loyalty, nothing! All they care is their miserable dirt they dig on. I hate them. I hate them all.
Chris Adams : Sure you hate them. Because you come from a village just like that one. You yourself are a farmer.
Chico : Yes! Yes, I'm one of them. But who made us the way we are? Men with guns. Men like Calvera, and men like you. And now me.
- Horst Buchholz, Yul Brynner, Les Sept Mercenaires (1960), écrit par William Roberts