Le Professionnel

Le Professionnel est un film français de Georges Lautner, sorti en 1981. Les dialogues sont signés Michel Audiard.

Citations

Joss Beaumont : Tu vois, même malin comme un singe, ça veut plus rien dire.

• Joss Beaumont au président africain Njala

• Jean-Paul Belmondo, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard

Edouard Valeras : Tu vois Rosen, maintenant je sais comment on retrouvera Joss Beaumont. En te collant au cul mon grand, parce que le jour où tu prendras une balle dans la tête, Joss sera tout à côté.

• Michel Beaune, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard

Doris Frederiksen : Qu’est ce que j’fais moi, si vous me butez la moitié de mes michetons et que vous me mettez l’autre au placard, j’vais me retrouver à poil moi !!... Enfin c’est une image !

• Marie-Christine Descouard, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard

Joss Beaumont : C’est pas avec tes robots qu’tu m’faisais le plus chier, c’est avec les piles !! Les piles allemandes n’allaient pas sur les robots japonais !! J’sais même pas si les piles bretonnes allaient sur les robots auvergnats !

• Jean-Paul Belmondo, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard

Dialogues

Évadé : Je vais mourir ?
Joss Beaumont : Oui. T'as peur ?
Évadé : Non. Pourquoi ?
Joss Beaumont : Parce que moi j'aurais peur.
Évadé : Parce que toi, tu irais en enfer ?

• Jean-Paul Belmondo, Sidiki Bakaba, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard

La postière : Eral onfa beca ludo koda ?! C'est quoi ludo koda ?
Joss Beaumont : C'est la signature.
La postière : Ah bon...

• Jean-Paul Belmondo, Beate Koapp, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard

Doris : Il (Rosen) m'a demandé de vous retenir, et de lui téléphoner.
Joss Beaumont : Ça vous amuse ?
Doris : Non, j'étais en train de penser que je ne détesterais pas vous retenir... mais sans lui téléphoner.

• Jean-Paul Belmondo, Marie-Christine Descouard, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard

(Farges, accoudé à un bar, boit un café, quand Joss Beaumont le surprend en arrivant par derrière et en trempant son croissant dans le café de Farges, qui en se retournant, fait tomber sa tasse)
Joss Beaumont : Malin, a p'us d'café maintenant. (Beaumont prend l'arme de Farges, qui a tenté de le saisir)
Joss Beaumont : Laisse. C'est pour moi.
Farges : J'voulais pas la gifler j'te jure, c'est Rosen qui m'l'a demandé. (Beaumont donne une grosse gifle à Farges)
Joss Beaumont: Moi non plus j'voulais pas t'gifler. C'est ma femme qui m'l'a demandé.
Farges : Là vous êtes vache, Commandant. C'était le boulot non ? J'aime pas donner des baffes.
Joss Beaumont: T'as raison, le boulot, c'est le boulot. (Joss redonne deux grosses gifles à Farges, dont l'une le fait saigner après que son nez se soit fracturé en se cognant sur un billard)
Joss Beaumont : (en quittant le bar) : Le croissant, c'est pour mon ami.

• Jean-Paul Belmondo, Bernard-Pierre Donnadieu, Le Professionnel (1981), écrit par Michel Audiard