La Grande Porte
La Grande Porte (Gateway) est un roman de science-fiction de l'auteur américain Frederik Pohl paru en 1977. Il a obtenu de nombreux prix, notamment le Nebula en 1977 et le Hugo en 1978.
Citations
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Toutes les émissions de télévision ont des publicités pour nous gonfler le moral en nous disant combien notre travail est important, combien le monde entier compte sur nous pour se nourrir.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 2, p. 19 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Sigfrid est très intelligent si l'on pense à l'étendue de sa bêtise.
- Sigfrid est le psychiatre informatique du héros, Robinette Broadhead.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 3, p. 22 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Je déteste l'idée d'être tué. Je déteste même l'idée de la mort qui viendra un jour : ne plus être vivant, voir tout s'arrêter, savoir que tous les autres gens continueront à vivre, à s'envoyer en l'air et à s'en payer une tranche sans que je sois là pour prendre ma part.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 6, p. 34 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
C'est curieux la frousse. Je ne l'éprouvais pas. Je savais qu'elle était la seule raison qui me poussait à rester, mais je n'avais pas l'impression d'avoir peur, seulement d'être raisonnablement prudent.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 12, p. 115 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
C'est le genre de bagarre entre homme et femme que j'essaie aussi souvent que possible d'attribuer à une tension prémenstruelle.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 20, p. 184 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Les sociétés malades rejettent les aventuriers comme des pépins de raisin. Les pépins de raisin n'ont pas tellement droit à la parole. Je suppose qu'il en allait de même avec les marins de Colomb ou les pionniers qui conduisaient leurs chariots bâchés à travers les territoires comanches ; ils devaient avoir une frousse terrible, comme moi, mais ils n'avaient pas tellement le choix.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 22, p. 233 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
Freud a dit que tout garçon qui est persuadé d'avoir été le favori de sa mère ne peut devenir névrotique.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 25, p. 260 (voir la fiche de référence de l'œuvre)
La culpabilité ? C'est une chose pénible ; mais parce qu'elle est pénible, elle est modificatrice de comportement.
- La Grande Porte, Frederik Pohl (trad. C. et L. Meistermann), éd. J'ai Lu, 1984 (ISBN 2-277-21691-7), chap. 31, p. 317 (voir la fiche de référence de l'œuvre)