Georges Jacques Danton
- Pour les articles homonymes, voir Danton (film, 1983).
Georges Jacques Danton, né à Arcis-sur-Aube le 26 octobre 1759 - mort à Paris le 16 Germinal an II (5 avril 1794), est un homme politique et révolutionnaire français.
Discours
[modifier]- Contre la résistance par la force à un ordre d'arrestation de Marat au district des Cordeliers, 22 janvier 1790
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 42
- À propos de certains éloges excessifs de Lafayette, 29 mai 1790
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 55
- Sur la volonté du roi de se confesser à Saint-Cloud auprès d'un prêtre réfractaire, 18 avril 1791
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 95
- À propos d'un député blanc de Saint-Domingue indûment présent à la Société des Jacobins. Intervention au club des Jacobins,10 juin 1791.
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, d'après les Sabbats Jacobites, p. 98
- Contre l'absence de l'abbé Sieyes, auteur d'une proposition de loi en faveur de deux chambres, 20 juin 1791
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 99
- En faveur de la déchéance du roi, 23 juin 1791
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 111
- Sur l’inviolabilité du roi, 13 juillet 1791
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 113
- Sur le droit de pétition, 15 juillet 1791
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 114
- Discours prononcé au club des Jacobins sur la guerre, 14 décembre 1791
- Maximilien de Robespierre, Gérard Walter, éd. Gallimard, 1961, p. 253
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 120
- Réponse au discours de Brissot sur la question de la guerre, 16 décembre 1791
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 120
- Réponse au discours de Brissot sur la question de la guerre, 16 décembre 1791
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 122
- Georges Jacques Danton, 20 janvier 1792, Paris, dans Révolutions de Paris, n° 138, p. 413, paru du 25 février au 3 mars 1792, Louis Marie Prudhomme : Extrait du discours prononcé par Danton lors de son installation en tant que substitut du procureur de la commune de Paris.
- Discours prononcé par Danton lors de son installation en tant que substitut procureur de la commune de Paris, 20 janvier 1792.(2)
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 26
- Contre la proposition de Doppet de protéger l'assemble législative par une garde nationale, 26 janvier 1792
- Danton, Frédéric Bluche, éd. Perrin, 1999, p. 156
- À propos des dons proposés par La Cour aux soldats de Chateauviaux, 4 mars 1792.
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg,Société de l'Histoire de la Révolution française, éd. Edouard Cornely, 1910, p. 138-139
- À une délégation paysanne venue expliquer le meurtre de Simonneau, maire d'Étampes opposé à la taxation de grains, 27 avril 1792.
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 144
- Pour Robespierre et contre la Gironde, 10 mai 1792.
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, Journal des Jacobins, p. 144
Maintenant que la vérité des trahiſons que nous avions dénoncées, brille dans tout ſon éclat ; maintenant que vous êtes pénétrés & comme inveſtis de la lumiere, maintenant que vous voyez, empreſſez-vous d’éclairer ceux à qui vous êtes chargés de diſpenſer la juſtice ſur ces faits dont la connoiſſance vous eſt tranſmiſe miniſtériellement. Il eſt encore en votre pouvoir de reconquérir la bienveillance nationale. Imitez le tribunal de caſation & les tribunaux de Paris. Jurez l’égalité, félicitez l’aſſemblée nationale de ſes décrets libérateurs ; tournez contre les traîtres, contre les ennemis de la patrie & du bonheur public, le glaive de la loi qu’on avoit voulu diriger dans vos mains contre les apôtres de la liberté. Que la juſtice des tribunaux commence, & la juſtice du peuple ceſſera ! ( Aux tribunaux, 19 août 1792)
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg,Société de l'Histoire de la Révolution française, éd. Edouard Cornely, 1910, p. 161-162
Il doit y avoir dans Paris 80,000 fusils en état. Eh bien ! il faut que ceux qui sont armés volent aux frontières. Comment les peuples qui ont conquis la liberté l’ont-ils conservée ? Ils ont volé à l’ennemi, ils ne l’ont point attendu. Que dirait la France, si Paris dans la stupeur attendait l’arrivée des ennemis ? Le peuple français a voulu être libre ; il le sera. Bientôt des forces nombreuses seront rendues ici. On mettra à la disposition des municipalités tout ce qui sera nécessaire, en prenant l’engagement d’indemniser les possesseurs. Tout appartient à la patrie, quand la patrie est en danger. (On applaudit.)
- Discours de Danton, ministre de la justice à l'assemblée législative, sur les mesures révolutionnaires, 28 août 1792
- La patrie en danger, Georges-Jacques Danton, éd. L.Boulanger, 1893, chap. Sur les mesures révolutionnaires (I), p. 7-8
- Discours à l'Assemblée, 2 septembre 1792 (rapporté dans Le Moniteur du 4 septembre 1792)
- Danton : documents authentiques pour servir à l'histoire de la révolution, Alfred Bougeart, éd. Lacroix, 1861, chap. IV, p. 118
- Discours à l'Assemblée, 2 septembre 1792 (rapporté dans Le Moniteur du 4 septembre 1792)
- Danton : documents authentiques pour servir à l'histoire de la révolution, Alfred Bougeart, éd. Lacroix, 1861, chap. IV, p. 119
- Sur le rôle de la Convention, 21 septembre 1792
- Discours civiques de Danton,, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 32
Je ne crois pas que vous deviez dans ce moment changer l’ordre judiciaire ; mais je pense seulement que vous devez étendre la faculté des choix. Remarquez que tous les hommes de loi sont d’une aristocratie révoltante ; si le peuple est forcé de choisir parmi ces hommes il ne saura où reposer sa confiance. Je pense que si l’on pouvait, au contraire, établir dans les élections un principe d’exclusion, ce devrait être contre ces hommes de loi qui jusqu’ici se sont arrogé un privilège exclusif, qui a été une des grandes plaies du genre humain. Que le peuple choisisse à son gré les hommes à talents qui mériteront sa confiance. Il ne se plaindra pas quand il aura choisi à son gré. Au lieu qu’il aura sans cesse le droit de s’insurger contre des hommes entachés d’aristocratie que vous l’auriez forcé de choisir.
- Sur la liberté de choix des juges parmi les citoyens, 22 septembre 1792
- La patrie en danger, Georges-Jacques Danton, éd. L.Boulanger, 1893, chap. Choix des juges, p. 9-11
Il est incontestable qu’il faut une loi vigoureuse contre ceux qui voudraient détruire la liberté publique. Eh bien ! portons-la, cette loi, portons une loi qui prononce la peine de mort contre quiconque se déclarerait en faveur de la dictature ou du triumvirat ; mais après avoir posé ces bases qui garantissent le règne de l’égalité, anéantissons cet esprit de parti qui nous perdrait. On prétend qu’il est parmi nous des hommes qui ont l’opinion de vouloir morceler la France ; faisons disparaître ces idées absurdes, en prononçant la peine de mort contre leurs auteurs. La France doit être un tout indivisible. Elle doit avoir unité de représentation. Les citoyens de Marseille veulent donner la main aux citoyens de Dunkerque. Je demande donc la peine de mort contre quiconque voudrait détruire l’unité en France, et je propose de décréter que la Convention nationale pose pour base du gouvernement qu’elle va établir l’unité de représentation et d’exécution. Ce ne sera pas sans frémir que les Autrichiens apprendront cette sainte harmonie ; alors, je vous jure, nos ennemis sont morts. (On applaudit.)
- Sur les accusations de dictature, 25 septembre 1792
- La patrie en danger, Georges-Jacques Danton, éd. L.Boulanger, 1893, chap. Sur les mesures révolutionnaires (II), p. 11-12
- Discours à l'Assemblée, 14 octobre 1792 (rapporté dans le Journal des débats de la société, n° 283)
- Danton : documents authentiques pour servir à l'histoire de la révolution, Alfred Bougeart, éd. Lacroix, 1861, chap. V, p. 158
- Sur les pièces manquantes relatives au futur procès du roi dans le rapport du député Valazé, 6 novembre 1792
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 238
- Sur le traitement des prêtres, 30 novembre 1792
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg,Société de l'Histoire de la Révolution française, éd. Edouard Cornely, 1910, p. 249
- Contre la proposition de vote à la majorité des 2/3 dans le procès du roi, formulée par les girondins Lanjuinais et Le Hardy,16 janvier 1793.
- Discours civiques de Danton,, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 47
- Danton (1984), Frédéric Bluche, éd. Perrin, 1999, p. 252-253
- Pour Lepelletier, aristocrate régicide de la Montagne assassiné, 21 janvier 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 51
- Opinion sur la réunion de la Belgique à la France, 31 janvier 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 54
- Sur la libération des prisonniers pour dettes, 9 mars 1793
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 280
- Discours à l'Assemblée sur l'institution d'un tribunal révolutionnaire, 10 mars 1793 (rapporté dans Le Moniteur du 13 mars 1793)
- Danton : documents authentiques pour servir à l'histoire de la révolution, Alfred Bougeart, éd. Lacroix, 1861, chap. V, p. 194
- Pour la création d'un comité de salut public, 3 avril 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 109
- Demande d'un blocage du prix du pain pour le pauvre, 5 avril 1793.
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 111
- Contre la mise en accusation de Marat par la Gironde, 10 avril 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 113
- Pour la République une et indivisible, 13 avril 1793
- Discours civiques de Danton,, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 115
- Pour un nouvel impôt et de nouvelles levées, 27 avril 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 119
- Pour un nouvel impôt relatif à l'envoi de troupes en Vendée, 8 mai 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 125
- Pour la défense du peuple de Paris, 26 mai 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 134
- Contre la commission des Douze créée par la Gironde, 27 mai 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 134
- Sur la chute des girondins(31 mai-2 juin 1793), 13 juin 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 144
En théorie, en raison et en justice, l’agression là n’est pas une guerre offensive. Quand je vois un ennemi qui me couche en joue, je tire sur lui le premier, si je peux je ne fais là que me défendre. Une guerre offensive serait celle où sans aucune provocation, nous combinerions des attaques inopinées et injustes, dans des vues d’agrandissement de notre territoire. Le Corps législatif ne sera jamais secondé dans une telle entreprise.
- Sur l'obligation de soumettre à ratificiation populaire le droit de déclarer la guerre dans un but défensif,Convention, 16 juin 1793 (a)
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 489
- S’il est possible de combiner la manière de retarder le fléau de la guerre et la rigueur des principes avec la nécessité d’une défense, ce moyen doit s’appliquer à la guerre défensive, car si la guerre offensive est toujours injuste, celle-ci peut quelquefois s’éviter par quelques sacrifices, et ces sacrifices, il n’appartient qu’au peuple de les faire (…) Je me réserve donc à demander que la déclaration soit soumise à une ratification populaire dont le mode sera fixé, et que le comité de salut public soit chargé de présenter la rédaction de ce principe.
- Sur l'obligation de soumettre à ratificiation populaire le droit de déclarer la guerre dans un but défensif,Convention, 16 juin 1793 (b)
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 490
- Discours pour que le Comité de Salut public soit érigé en gouvernement provisoire, 1er août 1793
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 147
- Sur l'instruction publique, discours à l'Assemblée, 13 août 1793 (a) (rapporté dans Le Moniteur du 15 août 1793)
- Danton : documents authentiques pour servir à l'histoire de la révolution, Alfred Bougeart, éd. Lacroix, 1861, chap. VII, p. 270
- Citation choisie pour le 5 janvier 2010.
Je demande que, sauf les modifications nécessaires, vous décrétiez qu'il y aura des établissements nationaux où les enfants seront instruits, nourris et logés gratuitement, et des classes où les citoyens qui voudront garder leurs enfants chez eux pourront les envoyer s'instruire.
- Sur l'instruction publique, discours à l'assemblée, 13 août 1793 (b)
- Danton, Martine Lecoq, éd. Van Dieren, 2016, p. 100-101
- Discours à l'Assemblée, 4 septembre 1793 (rapporté dans Le Moniteur du 7 septembre 1793)
- Danton : documents authentiques pour servir à l'histoire de la révolution, Alfred Bougeart, éd. Lacroix, 1861, chap. VIII, p. 281
- Sur les secours à accorder aux prêtres sans ressources, 22 novembre 1793-2 frimaire an II.
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 164
- Contre les mascarades antireligieuse, 26 novembre 1793-6 frimaire an II
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 166
- Sur l'instruction publique, 12 décembre 1793-22 frimaire an II
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 178
- Sur l'égalité des citoyens devant les mesures révolutionnaires,après l'arrestation du beau-père de Camille Desmoulins, contestée par ce dernier devant la Convention, 23 janvier 1794-4 pluviôse an II.
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 179
- Pour la libération d'Hébert et de Ronsin, 2 février 1794-14 pluviôse an II
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 185
- Sur l'arrivée de trois députés de Saint-Domingue (Blanc-Dufay, Métis-Mills, Noir-Belley) emprisonnés après dénonciation,15 pluviôse an II-3 février 1794.
- Discours de Danton, édition critique, André Fribourg (Société de l'Histoire de la Révolution française), éd. Edouard Cornely, 1910, p. 667
- Discours prononcé à la Convention sur l'abolition de l'esclavage dans les colonies, 16 Pluviôse an II- 4 février 1794.(a)
- Discours de Danton, édition critique., André Fribourg, Société de l'histoire de la révolution française., éd. Edouard Cornely, 1910, p. 669
- Moniteur Universel, Charles-Joseph Panchkourke, éd. Moniteur Universel, 17 pluviôse an II- 5 février 1794, t. 19, p. 388
- Discours prononcé à la Convention sur l'abolition de l'esclavage dans les colonies, 16 Pluviôse an II- 4 février 1794.(b)
- Choix des rapports, opinions et discours Prononcés à la Tribune Nationale depuis 1789 jusqu'à ce jour, recueillis dans un ordre chronologique et historique ; Vox Populi Vox Dei., Alexis Eymery, éd. Alexis Eymery, 1821, t. 14, p. 428
- « Le discours abolitionniste de Danton (16 pluviôse an II) », Jean-Daniel Piquet, Revue d'Histoire et de Philosophie Religieuses, juillet/Septembre 2010, p. 353-377 (365-366)
- Pour les patriotes mutilés en défendant la cause du peuple, 3 mars 1794-13 ventôse an II.
- Discours de Danton, édition critique., André Fribourg, Société de l'histoire de la révolution française., éd. Edouard Cornely, 1910, p. 683
- Sur les fonctionnaires publics soumis à l'examen du comité de salut public, 9 mars 1794-19 ventôse an II
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 189
- Sur la dignité de la Convention et son attitude vis-à -vis d'une réclamation tardive de la Commune, 19 mars 1794-29 ventôse an II
- Discours civiques de Danton, Hector Fleishmann, éd. Libro in Véritas, 2007, p. 191
Président, ne demande pas que je monte au fauteuil, tu l'occupes dignement. Ma pensée est pure. Si mes expressions l'ont mal rendue, pardonne-moi une inconséquence involontaire. Je te pardonnerai moi-même une pareille erreur. Vois en moi un frère qui exprimé librement son opinion.
- Réponse au président de la convention Rhul qui proposait à Danton de le remplacer en réponse à sa critique précédente, 19 mars 1794-29 ventôse an II
- Danton, Martine Lecoq, éd. Van Dieren, 2016, p. 131-132
- Réponse de Danton au tribunal révolutionnaire, interrogé sur son nom et sa demeure (séance du 13 Germinal an II- 2 avril 1794, rapportée dans Le Moniteur du 15 Germinal an II-4 avril 1794)
- Histoire des causes de la révolution française, Adolphe Granier de Cassagnac, éd. Garnier, 1850, t. 3, partie 2, chap. VII, V (« Danton »), p. 478
- Nouvelle réponse de Danton au Tribunal révolutionnaire en réponse à Herman (séance du 14 germinal an II-3 avril 1794)
- Danton, Frédéric Bluche, éd. Perrin, 1999, p. 469
- Apostrophe adressée aux membres du comité de sûreté générale, installés derrière les juges du tribunal révolutionnaire (séance du 15 germinal an II- 4 avril 1794)
- Danton, Frédéric Bluche, éd. Perrin, 1999, p. 477