Dans le domaine du turf, jeune homme, y'a deux façons d'croquer : la magie ou le hasard.... J'explique : favori sur faux ticket ou tocard sur vrai tickson. À moi, la magie m'a coûté deux ans d'placard. C'est pourquoi, aujourd'hui, j'aime mieux un mauvais cheval qu'un bon juge d'instruction !
Maurice Biraud, Des pissenlits par la racine (1963), écrit par Michel Audiard
Plus t'as de pognon, moins t'a de principes. L'oseille, c'est la gangrène de l'âme.
Maurice Biraud, Des pissenlits par la racine (1963), écrit par Michel Audiard
D'habitude avec les nanas, je dépasse jamais le diabolo-menthe ou le jus de fruit. Mais avec vous, le champagne s'impose ! Et millésimé !
Maurice Biraud, Des pissenlits par la racine (1963), écrit par Michel Audiard
Je suis pas Lawrence d'Arabie : je traverse pas le désert sans boire !
Maurice Biraud, Des pissenlits par la racine (1963), écrit par Michel Audiard
Jo Arengeot : Flush Royale !... Quatre-cent-vingt-et-un !... Neuf à la ponte !... Belote !... Rebelote !... Et fanny ! Le caissier : Ça veut dire ? Jo Arengeot : Ça veut dire : envoyez l'oseille, et fissa ! Les riches, ça attend pas, ça fait des colères ! Le caissier : Ben, quoi ? Qu'est-ce que vous voulez ? Jo Arengeot : Éh ben, c'est écrit dessus ! Le caissier : Le Onze, le Cinq, le Deux ?... La dernière fois qu'on les a vus, y barbotaient dans la rivière des tribunes !
Maurice Biraud, Des pissenlits par la racine (1963), écrit par Michel Audiard
Pierre Michon : La police ? Chez moi ? A deux heures du matin ? L'inspecteur de Police : La police est chez elle partout et à n'importe quelle heure !