Antonin Artaud
Antonin Artaud, de son vrai nom Antoine Marie Joseph Artaud, est un écrivain et poète français, né le 4 septembre 1896 à Marseille, et mort le 4 mars 1948 à Ivry-sur-Seine.
Correspondance avec Jacques Rivière, 1924
[modifier]- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1954, « Antonin Artaud à Jacques Rivière, Paris, le 29 janvier 1924 », p. 24
- Citation choisie pour le 14 mars 2012 ainsi que le 9 septembre 2016.
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1954, « Antonin Artaud à Jacques Rivière, Paris, le 25 mai 1924 », p. 38
L'Ombilic des Limbes, 1925
[modifier]Une grande ferveur...
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie L'Ombilic des Limbes, « Une grande ferveur... », p. 53
Description d'un État Physique
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie L'Ombilic des Limbes, « Description d'un État Physique », p. 62
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie L'Ombilic des Limbes, « Description d'un État Physique », p. 64
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie L'Ombilic des Limbes, « Description d'un État Physique », p. 66
Lettre à Monsieur le législateur de la loi sur les stupéfiants
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, « Lettre à Monsieur le législateur de la loi sur les stupéfiants », p. 68
- Citation choisie pour le 29 octobre 2009.
Textes de la période surréaliste, 1928
[modifier]L'Osselet toxique
Il ne t'appartient pas, DENOMINATION. Ta mauvaise sensibilité vise à quoi ? A le remettre entre les mains de sa mère, à faire de lui le conduit, l'égout de la plus petite confrérie mentale possible, du plus petit dénominateur commun conscient ?
Sois tranquille. IL EST CONSCIENT.- Repris dans le présent recueil, L'Osselet toxique figura initialement dans La Révolution Surréaliste N° 11, revue datée de mars 1928.
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Textes de la période surréaliste, « L'Osselet toxique », p. 235
Fragments d'un journal d'enfer, 1929
[modifier]- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Fragments d'un Journal d'Enfer, p. 120
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Fragments d'un Journal d'Enfer, p. 121
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Le Pèse-nerfs, « Fragments d'un Journal d'Enfer », p. 123
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie Fragments d'un Journal d'Enfer, p. 125
L'Art et la mort, 1929
[modifier]Qui au sein
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie L'Art et la Mort, « Qui au sein... », p. 135
Héloïse et Abélard
- L'Ombilic des Limbes suivi du Pèse-nerfs et autres textes, Antonin Artaud, éd. Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », 1956, partie L'Art et la Mort, « Héloïse et Abélard », p. 145
Pour en finir avec le jugement de dieu, 1947, édition 2003, Gallimard Poésie n° 385
[modifier]Là où ça sent la merde
ça sent l'être.
- États préparatoires (1947), Antonin Artaud, éd. Gallimard, 1947, p. 143
On a fait descendre à ma sensibilité depuis dix ans les marches des plus monstrueux sarcophages.,
du monde encore inopéré des morts
et des vivants qui ont voulu (et au moins où nous en sommes c'est par vice)
qui ont voulu vivre morts,
mais je me serai tout simplement évité d'être malade
et avec moi tout un monde qui est tout ce que je connais.
- États préparatoires (1947), Antonin Artaud, éd. Gallimard, 1947, p. 173