Antoine Loysel
Apparence
Antoine Loysel, né le 16 février 1536 à Beauvais et mort le 28 avril 1617, est un jurisconsulte français.
Institutes coutumières
[modifier]Qui veut le roi, si veut la loi.
- (fr1835) Qui veut le Roy, ſi veut la loy.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. I, chap. I, I, p. 1 (texte intégral sur Wikisource)
Qui fait l’enfant le doit nourrir.
- (fr1835) Qui fait l’enfant le doit nourrir.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. I, chap. I, XXXIII, p. 4 (texte intégral sur Wikisource)
Fille fiancée n’est prise ni laissée ; car tel fiance qui n’épouse point.
- (fr1835) Fille fiancée n’eſt priſe ny laiſſee. Car tel fiance qui n’eſpouſe point.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. I, chap. II, I, p. 7 (texte intégral sur Wikisource)
En mariage trompe qui peut.
- (fr1835) En mariage il trompe qui peut.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. I, chap. II, III, p. 7 (texte intégral sur Wikisource)
L’habit ne fait pas le moine, mais la profession.
- (fr1835) L’habit ne faict point le moine, mais la profeſſion.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. II, chap. V, XXVII, p. 29 (texte intégral sur Wikisource)
On lie les bœufs par les cornes, et les hommes par les paroles.
- (fr1835) On lie les bœufs par les cornes, & les hommes par les paroles.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. III, chap. I, II, p. 30 (texte intégral sur Wikisource)
Assez fait qui fait faire.
- (fr1835) Assez faict qui faict faire.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. III, chap. II, I, p. 31 (texte intégral sur Wikisource)
À tous seigneurs tous honneurs.
- (fr1835) A tous ſeigneurs tous honneurs.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. IIII, chap. III, XXXVI, p. 51 (texte intégral sur Wikisource)
Il vaut mieux un Tien, que deux, Tu l’auras.
- (fr1835) Il vaut mieux vn Tien, que deux, Tu l’auras.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. IIII, chap. IIII, VII, p. 57 (texte intégral sur Wikisource)
Une fois n’est pas coutume.
- (fr1835) Vne fois n’eſt pas couſtume.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. V, chap. V, VII, p. 68 (texte intégral sur Wikisource)
En crime, [il] n’y a point de garant.
- (fr1835) En crime n’y a point de garend.
- (fr1835) Inſtitutes couſtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Abel L'Angelier, 1607, t. VI, chap. I, VIII, p. 69 (texte intégral sur Wikisource)
L’on disait jadis : « Boire, manger, coucher ensemble, [c’]est mariage ce me semble » : mais il faut que l’Église y passe.
- (fr1835) L’on diſoit ☞ jadis * : Boire, Manger, Coucher enſemble eſt Mariage ce me ſemble : mais il faut que l’Egliſe y paſſe.
- (fr1835) Inſtitutes coûtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Veuve d’Edmé Martin, 1679, t. I, chap. II, VI, p. 21 (texte intégral sur Wikisource)
Qui vend le pot, dit le mot.
- (fr1835) Qui vend ☞ le Pot *, dit le Mot.
- (fr1835) Inſtitutes coûtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Veuve d’Edmé Martin, 1679, t. III, chap. IV, I, p. 100 (texte intégral sur Wikisource)
Qui peut et n’empêche pèche.
- (fr1835) ☞ Qui Peut, & n’Empeſche, Peche. *
- (fr1835) Inſtitutes coûtumieres (1607), Antoine Loysel, éd. Veuve d’Edmé Martin, 1679, t. VI, chap. I, IV, p. 201 (texte intégral sur Wikisource)